Suite à l’élection de Joe Biden à la Maison Blanche, les autorités turques, alors sous le coup de sanctions américaines et européennes, semblèrent infléchir leur politique extérieure, dans le but évident de revenir dans les bonnes grâces de son principal allié lors des 70 dernières années, les Etats-Unis, et de son principal partenaire commercial, l’Union européenne. Ankara proposa à Washington des approches « alternatives » au sujet de S-400系统的实施 acquis auprés de Moscou et principal cause de tension entre les Etats-Unis et la Turquie, qui fut évincée initialement du programme F35 et qui fait l’objet de sanctions militaires 根据CAATSA法规 depuis la fin d’année dernière.
Dans le même temps, le président Erdogan autorisa l’ouverture de négociations avec la Grèce et Chypre dans le but de trouver une solution négociée concernant les revendications d’Ankara sur des espaces maritimes riches en gisements gaziers et stratégiques et appartenant à Athènes et Nicosie selon la convention de la Mer, dont la Turquie n’est pas signataire. En outre, le soutien aux forces du Gouvernement d’Union National basé à Tripoli dans le cadre du conflit libyen, marqua un fort ralentissement en début d’année. Il n’en fallut guère plus pour que Berlin s’oppose à l’application des sanctions, pourtant symboliques, décidées par l’Union européenne quelques semaines auparavant, afin de ne pas stopper la dynamique positive, selon les autorités allemandes.
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