Dire que le premier ministre australien, Scott Morrison, serait dans une position difficile tiendrait de l’euphémisme. En effet, non seulement se trouve-t-il empêtré dans les conséquences de ses dangereux arbitrages en matière de sous-marins, en ayant fait le choix de claquer la porte au nez de la France pour répondre aux sirènes américaines et britanniques lui promettant une flotte de sous-marins nucléaires d’attaque sans en avoir préalablement évalué la faisabilité et les conséquences géopolitiques, opérationnelles et budgétaires, mais il se trouve, avec son parti libéral, largement distancé par l’opposition travailliste dans les sondages d’opinion, alors même que la prochaine échéance électorale, les élections fédérales (législatives) de 2022 se rapprochent à grands pas.
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